On a testé la balade à dos d’éléphant en Thaïlande et on regrette

17 mai 2016

J’ai longtemps hésité à écrire cet article mais aimant beaucoup les animaux et étant sensible par la protection et la sauvegarde de la faune sauvage, j’ai souhaité avant tout sensibiliser les lecteurs voyageurs concernant cette activité que l’on effectue en Asie.

Je cherche donc juste à partager avec vous MES impressions et MA réflexion sur cette activité que j’ai faite lors de mon voyage en famille en Thaïlande du nord.

Si vous comptez bientôt aller en Thaïlande ou en Asie du Sud-Est et que vous hésitez encore à faire cette activité, peut-être changerez-vous d’avis en lisant ces quelques lignes sur cette activité que beaucoup de touristes ignorent encore beaucoup ? Du moins, je l’espère fortement !

On a testé la marche à dos d’éléphant en Thaïlande du nord et on regrette !

balade-elephants-thailande-chiangmai (2)

Comme vous savez, faire une balade à dos d’éléphants est l’une des attractions touristiques préférées des touristes en Asie du Sud-Est : en Thaïlande, en Inde du Nord ou encore par exemple au Cambodge.
Ces balades à dos d’éléphants font chaque année polémique avec des accidents, des révélations sur la maltraitance des pachydermes etc. Il y a quelques semaines une nouvelle polémique est tombée avec cette triste nouvelle : un éléphant est mort d’épuisement et d’une crise cardiaque près du site d’Angkor Vat au Cambodge liée à l’activité touristique trop intense.

Lors de notre voyage en Thaïlande du Nord, j’ai voulu me faire une idée de ce qu’était vraiment cette activité et avec du recul, je dois dire que je regrette bien un chose, c’est de l’avoir fait.
J’ai effectué cette balade dans le Nord de la Thaïlande, à 1h30 de Chiang Mai. Vous trouverez d’ailleurs beaucoup d’organismes qui proposent cette activité. J’avais choisi un organisme (dont je tairai le nom) qui était selon moi le plus “sérieux” et avec les meilleurs commentaires sur TripAdvisor. La balade était certes bien ficelée, ludique et organisée avec :

  • Une première étape dans un marché pour acheter des bananes pour les éléphants,
  • Une première rencontre avec les éléphants en leur donnant des bananes et en apprenant quelques mots en mahouts (nom de la tribu locale) pour que l’éléphant comprenne nos ordres une fois sur lui !
  • Avec ensuite d’une “initiation” pour monter sur un éléphant, considéré un peu comme un “entrainement” pour s’habituer à être sur le dos de l’animal avant LA grande balade de 1 heure dans la forêt qui se conclut par un bain avec notre monture (en les arrosant, en les frottant)

balade éléphant chiang mai balade éléphant chiang maibalade éléphant chiang mai

Pourquoi nous regrettons ?

Tout d’abord, à titre personnel, nous avons fait cette activité avec notre  bébé de 10 mois (non, non ne nous prenez pas pour des fous !). Malgré que tout se soit très bien passé puisque nous avons été bien encadrés, c’était tout de même bien physique et stressant pour nous d’être à la fois sur un éléphant (sans harnais et sans protection) tout en portant notre enfant dans le sac de portage et en essayant de garder l’équilibre pour ne pas tomber de l’éléphant (tomber à 3 mètres de hauteur, ça peut faire mal !).
Puis, bien sûr je regrette aussi d’avoir fait cette balade car je me suite vite rendue compte que les éléphants étaient bien dociles avec les touristes. J’ai aussi réalisé que la plupart des éléphants avaient les pattes liées entre elles. J’ai ainsi voulu m’intéresser un peu plus afin de savoir quelle(s) étai(ent) la/les raison(s) de cette docilité ? Mieux vaut tard que jamais, dira-t-on.balade-elephants-thailande-chiangmai (2)

Explications !

Cette grande balade consiste donc à monter sur un éléphant (soit une ou deux personnes par éléphant) et à se balader dans une foret à la végétation luxuriante (très beau paysage malgré tout) où une dizaine d’éléphants se suivent avec à leurs côtés un Thaï qui porte un “bullhook ” (comme un pic à glace) à la main en cas de “dérapage” et pour les mener sur le droit chemin (il y a au moins un Thaï pour 2 éléphants mais selon les organismes, cela peut être même plus ! grrr ! ) …mais pas seulement ! J’ai pu remarquer qu’un des Thaï se servait entre autre du “pic” pour donner l’ordre à l’éléphant de s’allonger dans l’eau pour que le touriste vive l’expérience du bain. Encore un moment certes bien sympathique mais n’oublions pas avant tout que l’éléphant n’est pas dans son élément naturel.
En prenant des vidéos durant la balade, je ne m’étais pas rendue compte que le Thaï utilisait pas mal son pic tout du long. C’est alors en visionnant les vidéos que je m’en suis rendue compte.

Sur place, les éléphants ne montrent pas de blessures particulières sur leur corps (ou c’est peut-être bien caché), mais ils semblent tout de même fatigués …normal n’est-ce-pas ? surtout lorsqu’on pense que les éléphants font cette activité TOUS les jours (sachant que l’activité sur place durent environ 2h00-3h00) et qu’il peut arriver qu’ils n’aient pas le temps de boire et manger durant l’activité.
Dès mon arrivée sur le site, je remarque aussi que les éléphants sont enchaînés aux pattes et que dans l’un des endroits où ils sont parqués il y a de grands poteaux munis de barbelés pour maintenir leur abri. Ces barbelés sont là pour éviter aux éléphants de renverser ces poteaux et donc que leur abri s’effondre sur eux. OK…certes, mais cela reste quand même des barbelés bien tranchants !

La balade quant à elle, est certes très atypique et marquante. Mais n’est-il pas intéressant de voir plus loin et essayer de comprendre pourquoi l’animal devient aussi docile face à ces touristes et quelles sont les réelles conditions de vie d’un éléphant ?balade éléphant chiang mai thailande

Voici plus de détails sur ce que j’ai pu apprendre 

Tout d’abord, pour parvenir à rendre l’éléphant docile, il faut lui infliger de nombreuses souffrances et tout un processus pendant plusieurs jours. L’éléphanteau est d’abord arraché à sa mère pour ensuite le soumettre à un rituel appelé “phajaan” qui signifie “briser, broyer l’éléphant”, c’est à dire séparer l’âme de son corps pour l’amener à obéir et à se soumettre. Il est donc enchaîné, battu à des endroits bien stratégiques et traumatisé (avec une privatisation d’eau, de nourriture) pendant plusieurs jours pour que ce triste rituel fasse bien effet. L’éléphant ainsi traumatisé est donc prêt à accepter n’importe quoi pour ne plus revivre ce moment plus que cruel et traumatisant. Il est alors soumis à l’Homme et garde bien en mémoire cette peur et ce traumatisme pour le restant de sa vie. Ainsi, le dressage avec l’éléphant est plus simple pour lui apprendre les bases du “folklore” et amuser la galerie et aussi pour l’une des activités principales : le tourisme (à travers les balades, des acrobaties, des éléphants peintres ou encore footballeurs).
Sachez tout de même que 50% des éléphants qui subissent ce “phajaan” meurent pendant ce triste rituel. Et après ce rituel, l’éléphant subira de façon (plus) “discrète” des rappels de maltraitance avec des coups sur leurs plaies si l’éléphant n’accepte pas de faire ce que son maître souhaite lui faire faire.
J’ai pu lire qu'”au début du 20ème siècle, on comptait environ 100 000 éléphants en Thaïlande. Aujourd’hui on estime qu’il en reste un peu moins de 5000 (la moitié domestiqués)”. Ces chiffres nous laissent tout simplement penser qu’à ce rythme, les pachydermes pourraient disparaître d’ici une trentaine d’années.

balade-elephants-thailande-chiangmai (2)

Chaque voyageur a le choix de faire ou non cette activité. Mais essayons de penser aux conditions des éléphants et de ne pas se voiler la face.
Même si c’est une espèce protégée, l’éléphant est une source de profit importante en Thaïlande. C’est donc au touriste d’essayer de changer la donne et de ne plus faire ce genre d’activité. Essayons plutôt de faire un pas à notre manière, eu étant un minimum responsable et soucieux des conditions des pachydermes, en évitant de faire ce type d’activité afin qu’elle soit reconnue dangereuse pour l’éléphant. Laissons ces éléphants dans leur habitat naturel et essayons de penser différemment.

Si à tout hasard, vous n’êtes pas encore convaincus par le fait qu’il ne faut pas faire ce type de balade, je vous laisse découvrir l’article écrit par les blogueurs Maryne et Jules du blog Explore le Monde,  qui ont eux aussi écrit un très bon article expliquant les méfaits de tout trek et balade à dos d’éléphant.

A bon entendeur…

NB: Cet article concerne une activité que nous avons effectué en 2014…

balade à dos d'éléphant en thailande

EnregistrerEnregistrer

Vous avez aimé cet article ? Pensez à le partager !
Laissez un petit commentaire
EXPAND

Hier soir, nous dînions avec un ami d’enfance qui vit depuis plus de 15 ans en Thaïlande. Je lui ai parlé de de fameux « phajaan » que les sites internets s’évertuent à copier et recopier à l’infini. Il m’a affirmé que ce type de dressage est désormais formellement interdit et que tout ce qu’on lit sur le web n’a aucun fondement. Effectivement, à posteriori, on se rend compte que c’est posté par des inconnus, pas par des associations connues ou reconnues.
Il n’a jamais vu cela en Thaïlande, loin s’en faut. Au contraire, il ne connait que des centres pour la protection de ces mastodontes qui ne sont pas aussi agressifs qu’on l’imagine. Sans parler que la loi interdit désormais qu’on utilise ces animaux pour le travail

Alors je suis en vacances en Thaïlande et cette activité est toujours proposée facilement y compris en plein coeur de ville comme Ayutthaya.

Je n’ai absolument pas voulu faire ce type de sujet car ce que tu as découvert sur place, je m’y attendais. Aucun regret par conséquent !

C’est chouette que tu partages ce moment que j’espere tu regretteras tout au long de ta vie. Mais le combat ne s’arrête pas seulement au éléphants malheureusement… Par milliards dans le monde entier juste pour notre alimentation nous tuons a tour de bras, a la chaîne et dans d’autres souffrances…. Facile de dire l’éléphant a vécu l’enfer mais, la vache a qui on inflige une grossesse non voulu,qu’on d’épargne le petit de la mer pour en tirer son lait et qu’on tu le petit pour manger ça chair…. Le poulet qui ne verra jamais le jour, pour exploiter ces oeufs et le tuer au bout de deux ans alors qu’il peut vivre 20 ans.
Tous les animaux ne devrait pas subir la débilité de l’homme! L’éléphant c’est un combat mais un combat bien plus grand derrière ça! NOTRE MODE DE VIE!
Merci tout de même pour ce partage. Merci pour eux!
L’espèce animal la plus intelligente “nous”, gâche tout pour des idéologies de merde…
Vive l’intelligence et vive l’évolution.

Bonjour Marlène,
Bonjour Thinkalittle,

Merci Marlène, pour cette page informative qui devrait être relayée au maximum car ce qui se passe, notamment à en Inde comme à Agra, est une véritable honte.
Avec les moyens d’informations que nous avons aujourd’hui, il est difficilement concevable que des touristes puissent ne pas être au courant de la maltraitance des éléphants, spécialement sur ce site qui sur-exploite ces animaux.

Mais,
Merci aussi à Thinkalittle pour son pavé dans la marre de cette page, car il a raison sur plusieurs points.

– A la base, nos chevaux ne sont pas plus domestiques que les éléphants.
Laissez un cheval de 500 kg prendre le dessus sur vous et vous verrez combien il peut être dangereux.
Une morsure pourrait vous arracher la main ou l’avant bras, et un coup de sabot lors d’une ruade pourrait vous tuer en un instant, ou au mieux vous causer des dommages irréversibles.
Et pourtant c’est l’ami que notre civilisation idolâtre.
Mais pour qu’il devienne le meilleur ami de l’homme il a fallu le conditionner (en l’attachant, en le mettant en “captivité”, et en le maîtrisant, toujours à l’aide d’un fouet), tout simplement parce qu’un cheval a une force colossale.

– Les éléphants de 5.000 kilos ne peuvent pas souffrir de 80 ou 150 kilos sur leur dos, ils sont 10 fois plus colossaux que nos chevaux.
De fait, pour les maitriser il faut utiliser des moyens plus radicaux.
Et pour ce, compte tenu de leur force, le dressage ne peut être que précédé par la mise en condition de l’éléphant (technique ancestrale du Phajaan qui inculque la docilité au futur colosse).
Le Phajaan est cruel et dramatique, voici la vidéo qui le prouve (attention aux âmes sensibles)
https://youtu.be/HRCZPfZfs00

Le Phajaan qui a toujours existé pour dompter ces colosses au coeur tendre, mais ce qui est dramatique est qu’il a été transformé par les contrebandiers pour les exploitations de l’industrie touristique.
Depuis il est devenu illégal bien que faisant partie de la tradition
Pourquoi il est dramatique ?
Outre la torture, un éléphanteau sur deux meurt à l’issue du Phajaan.
Si lors du braconnage un éléphant adulte s’interpose, il est abattu par les braconniers.
C’est ainsi 4 adultes qui seraient tués pour un éléphanteau capturé.
Il en résulte donc que 9 animaux sont tués pour pour l’accomplissement d’un seul phajaan (générant la mort d’un éléphanteau et de 2 x 4 adultes).

A l’inverse de ces considérations :
– C’est le propre de l’homme de prendre le dessus sur l’animal, c’est ce qui a fait nos civilisations
– Cela fait partie de leurs traditions et nous n’avons pas d’autres choix que de les accepter
(sinon, il faut passer son chemin et passer ses vacances ailleurs)

Ceci étant dit il faut savoir plusieurs choses :

– Les éléphants ont toujours joué un rôle important dans la culture thaï, que ce soit par la royauté, la religion, ou par leur utilisation pour les travaux forestiers ou militaires.
– En 1989, le gouvernement a interdit l’exploitation des forêts, obligeant les populations mahouts à se tourner vers l’exploitation du tourisme.
– Les éléphants Thaï, sont passés de 100.000 en 1900 à 13.000 en 1952 (ce n’est donc pas le tourisme qui a ravagé la population des éléphants, mais la chasse à l’ivoire)
– Il en reste aujourd’hui environ 1.500 en liberté et plus de 3.500 domestiqués.
– L’éléphant reste le meilleur moyen pour se déplacer dans la jungle.
– La loi thaï oblige a mettre un éléphant en retraite à 61 ans, après 50 ans de travail, car il vivrait jusqu’à 80 ans, mais il est maintenant prouvé qu’un éléphant vit 60 ans lorsqu’il est en en liberté et en moyenne 40 ans lorsqu’il est en captivité…
Une des solutions passerait donc peut-être par une mise en retraite obligatoire à 30 ou 35 ans (ce qui ferait tout de même 20 ou 25 ans d’exploitation et moins d’éléphants épuisés par le tourisme comme on peut les voir à Agra).
– Selon le gouvernemental Thaï, le nombre des éléphants sauvages aurait augmenté de 10% entre 2016 et 2017
– Le Cornacs est souvent deux (le père et son fils) pour accompagner l’éléphant dans toute sa ” vie professionnel “.
– Dans la majorité des cas, (sauf dans les industries abusives du tourisme de masse), chez les Cornacs, l’éléphant est considéré comme un membre de la famille.
– La faute n’est imputable ni aux aux Cornacs, ni aux Mahouts mais au braconniers que les autorités n’arrivent pas à maitriser.

Dans un objectif protectionniste de cet animal emblématique il y a plusieurs sites à visiter (plutôt que d’aller dans les parcs à spectacles ou on oblige les éléphants à faire les clown) :
L’Elephant Nature Park
Lamphang Elephant Hospital
Elephant World
Patara Elephant Farm
Baan Chang Elephant Day Care
Siam Elephants
Ils proposent aux visiteurs de devenir volontaires et d’aider à soigner les pachydermes récupérés après leurs maltraitance, pour une autre approche de l’animal, plus consciente, plus respectueuse et plus humaniste.
Il est possible de les baigner dans la rivière, de nettoyer leurs enclos, de les nourrir etc.
Une expérience de vie incroyable aux côtés de ces géants au grand cœur.

Nonobstant tous ces commentaires, pour une promenade dans la jungle, comme dit plus haut et comme vous avez pu le vivre vous même (malgré la mésaventure avec votre enfant qui était peut-être un peu jeune pour l’excursion), sur un point de vu uniquement touristique, l’expérience ne peut être qu’unique.
Il faudrait juste encadrer le Phajaan, le dressage et l’exploitation de ces animaux pour éviter les dérives.
Parce que dans le fond, un éléphant qui promène un touriste, c’est comme un cheval qui part en balade équestre.

Bonjour,
pour info, en Thailande comme dans de nombreux pays où vivent des elephnats, cet animal a toujours servi de mode de transport depuis des siècles, les cornacs montent sur eux pour les diriger, cela ne leur fait pas mal, ils pèsent entre 5 et 7 tonnes, ce n’est pas 100kilos qui les épuisent, c’est leur âge.
Vous êtes vous jamais demandé si monter à cheval faisait souffrir le cheval? renseignez vous sur les traditions des pays, avant de vous lancer dans une critique à la Brigitte Bardot… tous les éléphants ne sont pas maltraités… a bon entendeur!

Bonjour ! Merci pour votre message fort sympathique, par ici !
Je ne me prétends pas être Brigitte Bardot, cependant, je souhaitais tout simplement transmettre un message et une information importante sur cette activité touristique qui connaît encore du succès de la part des voyageurs qui ignorent les conditions dans lesquelles les éléphants de certains camps sont dressés pour les obliger à passer leur journée à balader des voyageurs. En Thaïlande, il existe encore des “camps” de ce type (je n’ai pas dit tous!) et je souhaitais avant tout partager MON expérience et faire découvrir les derrières de cette pratique. De plus, sur mon article, je ne parlais pas que de l’épuisement du fait qu’ils transportent des centaines de kilos sur leur dos, mais le fait qu’ils aient subi et subissent encore des maltraitances pour certains. Vous êtes vous jamais demandé comment les éléphants pouvaient accepter de transporter des touristes ainsi, comme par exemple en Inde, au fort d’Agra, où ils font sans cesse des allers et retours et sous un soleil de plomb. Regardez bien les cornacs et leurs attitudes aussi, vous comprendrez peut-être un peu mieux !
Si vous ne souhaitez pas entendre/lire mon point de vue, je vous invite sans problème à ne pas prendre le temps la prochaine fois de commenter par ici, et surtout avec un tel ton désobligeant. Merci 🙂

Merci beaucoup Marlène pour cet article ! Je prépare mon voyage en Thaïlande et j’avais entendu dire que les éléphants, comme les tigres, là-bas étaient maltraités et ton article le confirme. Je ne souhaite donc pas monter à dos d’un éléphant mais plutôt le voir heureux dans la nature et ne souhaite pas non plus me faire prendre en photo avec un tigre qui souffre également :(.

Merci encore !

Merci Aurélie pour votre message. Je vois que mon article est utile et permet de sensibiliser des voyageurs comme vous:) Bons préparatifs pour votre voyage en Thaïlande alors ! A bientôt

Merci pour cet article, c’est important de faire passer le message de la maltraitance des animaux pour les touristes. J’ai fais une excursion à dos d’éléphants il y a 7 ans au Laos et je dois dire que ça ne m’avait pas effleurer l’esprit 1 seconde qu’il était maltraite. Je ne connaissais rien à cela et pour moi c’était impossible de faire mal à ces animaux si magnifiques ! Je suis dégoûtée de m’être faite manipule comme ça car maintenant que tu le dit ça aurait dû me sauter aux yeux.
J’ai vu qu’il y avait aussi ce genre “d’attraction” propose en Afrique du Sud (ça m’a été proposé comme activité par une agence de voyage et la comme j’en savais plus ça m’a même choqué que l’on me propose cela ! (Bon finalement je voyage sans agence mais les éléphants ont les admirera de loin et on les laissera tranquille ‘

Coucou Mathilde. Merci pour ton message. En effet, il était important pour moi de faire passer le message. Je te souhaite par avance de passer de beaux moments en Afrique du Sud. A bientôt 🙂

[…] Lisez ce témoignage d’une bloggeuse qui regrette d’avoir fait une balade à dos d’éléphant si vous n’êtes toujours pas convaincu… […]

[…] La Girafe qui vole, qui l’a fait, et le regrette, […]

C’est très bien que tu aies osé en parler surtout si tu l’as vécu et que tu as réfléchi à ce sujet. J’ai aussi un grand regret, être allée à Sea World voir des orques quand j’étais jeunes… j’ai d’ailleurs effacé les photos que j’avais faites hier soir. Aujourd’hui, je ne peux qu’imaginer voir des animaux dans la nature, libres. Ils ne méritent pas qu’on leur inflige toutes ces tortures.

Merci Letizia pour ton commentaire. As-tu vu d’ailleurs le documentaire sur les orques “Black Fish” ? Je ne l’ai pas encore vu mais il apparemment que c’est très bien fait et explique en effet le système et la polémique de Sea World. A bientôt Letizia !

Non mais il faut que je le vois, tout comme I am Morgan, stolen freedom.

Waw… Ton article m’a fait mal au cœur.
Je ne sais pas si, auparavant, j’aurais pu faire cette activité lors d’un de mes voyages, mais si un jour cela se présente, ton témoignage reviendra dans mon esprit pour me tourner vers autre chose.
Merci à toi d’avoir courageusement partagé cette expérience!

Hello Charlène. Merci pour ton commentaire. Cet article est pour le moment le plus difficile que j’ai pu écrire. Et encore je n’ai pas mis TOUTES les informations concernant ce triste rituel. La Thailande a tellement d’autres choses à offrir…A bientôt

Laissez un petit commentaire

Sociaux

Réseaux

ME CONTACTER