Il était une fois 10 histoires qui ont marquées mon voyage en Tanzanie

22 juillet 2017

Après mon premier article sur mon voyage en Tanzanie dans lequel je vous dévoilais mes portraits de rêveurs, voici mes 10 anecdotes et histoires marquantes que je souhaitais partager avec vous.

Mes 10 plus belles histoires et anecdotes vécues en Tanzanie

Ces histoires que j’ai vécues durant mon dernier voyage en Tanzanie, pays dans lequel je me suis sentie dans mon élément, déconnectée et fascinée par toutes les merveilles que j’ai pu découvrir, m’ont marquées.

Mon immersion en territoire Maasaï

Le jour du départ de notre voyage vers le nord du pays que David, notre guide, vient me chercher à l’hôtel avec une autre personne dans le véhicule … et pas n’importe laquelle. Il s’agit d’Ishta, une jeune femme que j’avais rencontrée en Ouganda et avec qui j’avais beaucoup sympathisé. Ishita est tanzanienne et a souhaité se joindre à moi durant ce voyage, organisé par l’agence Serengeti Big Cats Safaris.

Nous partons donc en route vers le nord à Longido où se tient un campement et un village Maasaï encore très authentique et préservé. Après deux heures de route depuis Arusha nous arrivons au campement. Nous sommes en plein bush avec des montagnes face à nous, de nombreux acacias et le bruit constant des cloches de troupeau de chèvres qui appartiennent à la tribu Maasaï à proximité de notre campement. Nous sommes accueillis par deux personnes qui gèrent ce camp et posons nos affaires dans notre tente avant de faire notre première balade au côté de Nerewa qui sera notre guide Maasaï pour cette journée découverte. Nairowa ne parle que Swahili et je réalise alors que Ishita devra être ma traductrice pour mieux comprendre comment cette tribu vit au quotidien et ce que nous allons voir en chemin. Il est 12h et il ne fait pas si chaud que cela. Le soleil est pourtant présent mais en juin c’est l’hiver donc les températures avoisinent les 25 degrés par ici. Nous marchons et Nairowa nous montre un troupeau de girafes au loin. Il nous demande si nous souhaitons les suivre pendant quelques temps. Chaque girafe nous regarde avec insistance comme si elles se disaient “mais qu’est-ce qu’ils font par ici ces humains ?”. Mon émerveillement devant ces girafes à quelques mètres de moi fait sourire voire même rigoler Nairowa. Lui et sa famille en voient tous les jours…sans compter des antilopes et  les oiseaux que j’aime tant regarder à chaque que j’en croise sur ma route. 

Nairowa est discret, gentil, imposant de par sa taille et son tissu rouge si emblématique des hommes Massaï. Il porte aussi des sandales faites en pneus de mobylettes qui paraissent si confortables… Contrairement à nos grosses chaussures de randonnée qui n’empêchent pas d’attraper sur nos pieds des piquants venant du bush. J’entends encore Nairowa rigoler lorsqu’il me voit en train de retirer ces “piquants” qui arrivent comme par magie dans ma chaussure alors que lui n’a rien avec ses sandales ouvertes.

Plus tard dans la journée, quand la lumière devient encore plus éclatante, Nairowa nous emmène découvrir son boma, c’est à dire son “village” où il habite avec ses deux femmes, ses 8 enfants et d’autres familles. C’est un petit boma et je suis de suite intimidée de découvrir et de rentrer dans “l’intimité” de ces habitants Maasaï.

J’ai peur de me retrouver face à un village purement touristique avec des Maasaï qui viennent accueillir les touristes en chansons et en dansant, mais pas du tout. Des chèvres blanches et noires nous accueillent dans un premier temps avec par la suite l’un des garçons de Nairowa. Il semble adorer les lunettes de soleil que j’avais mises sur mon tee-shirt. Je les lui montre et il les essaie de suite. Deux femmes Maasaï viennent l’observer portant mes lunettes qui lui vont si bien. Je lui demande si je peux le prendre en photo pour lui montrer ensuite à quoi il ressemble avec des lunettes de soleil. Bien sûr il ne parle pas anglais mais on se comprend de suite. Dès lors, le jeune homme est si enthousiaste de se voir en photo, qu’il en redemande. Je le filme aussi pour lui montrer ses expressions. Il regarde les photos prises sur mon appareil … Il sourit, il rigole et il n’en revient pas de se voir, tout comme ses “camarades” qui à leur tour viennent me dire bonjour, me saluer et me font comprendre qu’ils aimeraient eux aussi se voir en photos. Certains enfants me touchent même la peau et les cheveux car ils n’ont vraiment pas tant l’habitude de voir des personnes autres que celles de leur village. Je prends moi aussi le temps de les regarder. Je trouve les Maasaï particulièrement beaux avec leurs tissus colorés, les bijoux qu’ils portent aux oreilles et aux cou. Femmes comme hommes, ils portent leurs cheveux courts. Les femmes portent un tissu bleu tandis que pour les hommes c’est du rouge… Ainsi que de très beaux bijoux aux oreilles et au cou. Les Maasaï arrachent également leurs deux dents du bas afin qu’on puisse leur donner à boire plus facilement en cas de besoin. On distingue également les Maasai par leurs tatouages sur le visage. Les Maasaï font partie des plus de 120 tribus qui existent en Tanzanie.

Cette visite m’a marquée, touchée et pour être tout à fait honnête, j’ai même versé une larme lorsqu’on m’a raconté comment les femmes Massaï bâtissent elles-mêmes leurs maisons. J’ai été émue de connaître leur mode de vie et leur culture. Il y a une telle différence entre l’Européenne que je suis et les Maasaï que je rencontre depuis quelques heures. Cette rencontre est incroyable et sera l’une des plus belles durant mon voyage.

Un lever de soleil pas comme les autres…avec les flamands roses au Lac Natron

Direction le lac Natron. Des paysages désertiques prennent place avec au fond l’imposant volcan encore actif (et sur qu’il est possible de gravir). La luminosité dans cette partie est incroyable et tout semble contraster entre le ciel bleu et la terre blanche. En route, nous continuons de croiser de nombreux Maasaï dont des enfants qui nous demandent de l’eau. On s’arrête pour en donner à un groupe d’enfants qui s’enfuit une première fois par peur…puis la deuxième fois est la bonne mais à peine avons nous donné nos bouteilles que les enfants s’en vont en courant. Notre guide chauffeur a eu le réflexe de courir après eux et de leur demander de boire l’eau devant nous et de nous redonner les bouteilles, car il sait que les enfants jettent ensuite dans la nature les bouteilles d’eau vides. Le lendemain matin, le réveil doit être matinal. Un des Maasaï vient nous chercher à notre campement pour partir et marcher près d’une heure pour aller contempler le lever du soleil sur le Lac Natron aux côtés de centaines de flamands roses présents ce matin-là. La lumière est belle, douce, le vent est au rendez-vous. J’entends seulement ce vent dans mes oreilles et le craquement du sol si sec au fil de mes pas. Nous sommes seuls, face à ce soleil qui se lève peu à peu, quelques zèbres qui nous regardent stupéfaits de nous voir si tôt par ici et tous ces flamands roses qui ne semblent pas nous regarder. Pourtant, au bout d’un moment, on les voit s’envoler et c’est un moment incroyable de les voir s’envoler dans cette lumière à la fois dorée et rosée (j’ai immortalisé ce moment dans les premières secondes de ma vidéo sur la Tanzanie). Un des plus beaux moments de sérénité et de fascination vécue dans un cadre naturel si beau ! J’ai aimé cette région et ne peux que le recommander d’y aller. 

Le jour où des éléphants sont arrivés dans notre campement

histoires en Tanzanie par la girafe qui vole

Il est 17h et nous observons un lion en train de faire un somme et un troupeau de 4 éléphants qui se dirige gentiment vers le campement où nous passerons la nuit.

Puis il est temps de rentrer après une journée de route et nous arrivons à notre campement du soir qui s’avère être un campement mobile qui change d’emplacement 2 fois par an pour suivre au mieux la migration des animaux. Nous sommes au nord du Parc de Serengeti face à la savane. Cela semble être calme, verdoyant et nous profitons du fait que le ciel soit encore clair pour nous installer dans notre tente et prendre notre douche (après que l’un des membres du personnel ait rajouté suffisamment d’eau pour notre douche… L’eau n’est pas à volonté par ici !). À peine 30 minutes se sont écoulées quand nous remarquons que le troupeau d’éléphants que nous avions vu précédemment est désormais dans notre campement, à environ 50 mètres de nous. Parmi eux se trouve un éléphanteau. Ils ont eux aussi sentis notre présence grâce à leur trompe ultra-sensible mais ils ne semblent pas si perturbés par nous. Irréel. Le temps s’arrête. C’est la magie de l’instant présent et c’est bien lorsque j’observe toute cette beauté naturelle face à moi que je me sens encore plus vivante et reconnaissante d’être là. Je les observe avec une telle fascination que le silence a pris place dans le campement et qu’il est déjà temps de dîner…

Un spectacle hors du commun 

Parfois, il vaut mieux regarder des images pour mieux comprendre ce que j’ai pu voir. C’était dans l’après-midi dans le Parc National de Serengeti où nous nous sommes retrouvés face à 4 guépards.

De beaux guépards qui semblaient ne rien avoir à faire des quelques véhicules face à eux mais guettaient plutôt une petite antilope au loin, toute seule dans le bush. Je vous laisse découvrir cette vidéo ci-dessous pour vivre à votre tour ce moment de… chasse !

Une initiation au tir à l’arc avec les Bushmen

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C’était un matin très tôt, dans la région du Lac Eyasi. Après avoir dormi au Lake Eyasi Safari Lodge, David, notre guide vient nous chercher pour une petite heure de route dans les environs du lac afin d’aller à la rencontre des bushmen, appelés aussi les Hadzabe (qui sont les derniers chasseurs-cueilleurs en Afrique).

On arrive au camp et je les vois tout de suite. Ils sont une dizaine et sont assis autour d’un feu et il est à peine 7h du matin, le soleil vient de se lever. Les femmes quant à elles sont séparées des hommes et sont à quelques dizaines de mètres d’eux loin de la fumée.

Nous faisons connaissance avec eux mais je ne me sens pas tellement à l’aise. Rentrer dans leur vie, leur quotidien me fait tout de suite penser que cette visite semble être une visite touristique. Mais il se trouve que non… du moins pas trop. Nous sommes seuls avec eux. Ils ne parlent ni anglais ni un autre dialecte que le leur. Seul notre guide local, qui vit dans la région, peut parler avec eux et traduire ce qu’ils nous disent. Nous avons passé 3 heures à leurs côtés et avons découvert comment cette tribu vit voire même survit. Nous les avons suivis en train de chasser, en train de faire leur feu (j’ai moi-même joué le jeu pour essayer) et avons tiré à l’arc du moins nous nous sommes initiés à leur tâche quotidienne, celle de tirer à l’arc pour chasser.

Je les regarde faire d’abord et cela semble assez simple. Moi-même ayant pratiqué à quelques reprises le tir à l’arc en vacances, je pensais que ça allait se faire “les doigts dans le nez”. Mais en réalité pas du tout ! L’arc est fait-main, la corde est tendue et fait mal lorsque j’insère la flèche (qu’ils font également eux-mêmes) et je tente de tirer. 1 fois, 2 fois, 3 fois… 9 fois et hop, voilà que j’y arrive ! Du moins, j’ai lancé ma flèche à un petit mètre devant moi. Un moment sympathique qui permet d’apprendre et d’être aussi encore plus proche de cette tribu puisque c’est eux qui essaient de t’initier. Certes la barrière de la langue est (encore) là mais cela reste un moment que je n’oublierai pas !

Un face-à-face pas comme les autres avec un léopard

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Après quelques heures dans notre véhicule à effectuer notre safari dans le parc de Tarangire, notre guide est toujours aussi sérieux, impliqué et concentré : il cherche à nous montrer un léopard qui est LE félin tant attendu de la part des voyageurs. Le léopard est difficile à traquer, à observer.
Bien souvent il se tient dans les arbres, chasse la nuit et il est donc presque impossible d’en croiser (comme dans la photo ci-dessus où nous avions pu observer notre premier léopard dans le parc, vous le voyez ?).

Sauf ce matin-là, c’était inattendu. Nous n’étions pas préparés à vivre cela : une rencontre avec un léopard à moins d’un mètre de nous , une femelle seule en quête de nourriture ! Je dois dire que les guides/rangers avaient dû se parler entre eux par talkie-walkie puisque nous devions être au moins une quinzaine de véhicules en train d’observer ce léopard. Au départ, le léopard était caché et il faut admettre que le premier guide qui a vu ce gros félin dans le bush est fort ! Puis, d’un coup, le léopard s’est déplacé…à un mètre de NOTRE véhicule.

Il a même frôlé notre véhicule pour se mettre ensuite de dos par rapport à nous, à moins de deux mètres. C’était fort ! J’entendais les gens étonnés dans la voiture et j’entendais surtout les nombreux « clic, clac, clic, clac » des appareils photos des véhicules à proximité.

Nous sommes restés une petite heure à l’observer pensant qu’il allait passer à l’attaque d’une minute à l’autre. Mais ce n’est pas arrivé… Le léopard se déplaçait, certes, tandis que le troupeau d’antilopes, qui devait sentir le danger, se déplaçait plus vite et plus loin de lui.

Vous avez dit « voie lactée » ?

C’était ma toute première nuit dans le bush en Tanzanie. A deux heures d’Arusha, nous dormions dans le campement Oserok Tented Camp, à proximité des Maasaï que j’ai rencontrés (et dont je vous parlais plus haut). La nuit est tombée vers 20H, une nuit noire où nous avions besoin de lampes torches pour rejoindre le campement où le chef nous avait préparé notre dîner. Il y avait seulement quelques mètres de distance entre notre tente et le campement où nous dînions, mais ces quelques mètres ont été une vraie surprise. Regardez ce ciel incroyable… ! Le calme et la solitude en participé à rendre ce moment vraiment magique et surprenant !

La surprise de voir un éléphanteau si petit

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La Tanzanie est vraiment le royaume des animaux. Je dois dire que je n’en avais jamais vu autant en safaris comparé à l’Ouganda, la Namibie, l’Afrique du Sud ou encore la Zambie. C’est dans le Parc du Tarangire qu’il y a la plus grande concentration d’éléphants au monde …Mais c’est au Parc National de Serengeti que j’ai croisé le plus petit éléphanteau jamais croisé jusque-là. Un éléphanteau qui était âgé d’à peine un mois. À cet âge, l’éléphanteau est encore capable de passer sous le ventre de sa mère. C’est ainsi qu’on reconnaît l’âge de l’éléphanteau. Passé les 1 mois, l’éléphanteau ne peut plus passer sous le ventre de sa mère et se déplace alors au côté de sa mère. En safari, lorsqu’il y a un éléphanteau, il faut donc toujours faire attention ! La mère n’est jamais bien loin de son petit et le protègera aussi longtemps qu’elle le peut. Donc gare à vous en safari… Ne vous approchez pas trop et respectez la distance qui devrait être au minimum de 25 mètres… Même si il est parfois difficile de respecter une telle distance puisque les safaris sont imprévisibles et qu’on ne sait pas ce qui peut bien se cacher derrière un arbre ou le bush, dans la savane.

C’est toujours avec autant de fascination que j’effectue des safaris et que je partage avec vous aussi d’autres face-à-face avec des éléphants en Tanzanie. Magique, irréel, fascinant, incroyable sont les mots qui me viennent à l’esprit lorsque je me remémore ces moments que j’ai vécus en Tanzanie aux côtés de ces grands mammifères.

Flâner dans un marché aux côtés des Massaï et des locaux

histoires en Tanzanie par la girafe qui vole

C’était un jeudi matin, nous partions du Parc de Manyara pour aller en direction d’un autre Parc national, celui de Tarangire. Nous sommes passés dans un petit village appelé Mto Wa Mbu qui signifie « la rivière des moustiques » où plus de 20 ethnies différentes vivent et cohabitent ensemble. S’arrêter dans ce village n’était pas prévu mais nous avons été intrigués par la présence de tant de monde sur les routes : les locaux qui vendaient entre autres leurs régimes de bananes mais aussi tous les dalla-dalla prêts à partir et sillonner les routes pour rejoindre les grandes villes (ce sont les transports en commun en Tanzanie de type « mini-bus taxi »).

A proximité se tient le marché Mto Wa Mbu tous les jeudis. Un marché coloré où des tribus Maasai se donnent rendez-vous pour acheter / vendre leurs chèvres et leurs vaches et aussi acheter leurs « shuka » qui sont les tissus emblématiques de cette tribu.

C’est aussi un marché où les locaux peuvent TOUT trouver : des casseroles, des chaussures, d’autres tissus (et se même se faire coudre sur place des habits), des vêtements d’occasion, des bijoux etc. Le marché est vivant. Ce matin-là, il y avait beaucoup de monde, quasiment aucun touriste, hormis nous, et j’ai vraiment trouvé ce moment très intéressant pour rencontrer les locaux et de découvrir leur quotidien. Notre guide David a encore été une fois un super compagnon de routes pour nous accompagner et nous « aider » à marchander et à comprendre les personnes au marché. Un incontournable à ne pas manquer lorsque vous êtes dans le coin mais n’oubliez pas une chose… Si vous souhaitez prendre des photos, pensez à bien demander l’autorisation des personnes concernées car sinon, il n’aiment pas du tout être pris en photo au dépourvu (comme vous, non ?!).

Un coucher de soleil face à la savanehistoires en Tanzanie par la girafe qui vole

Si vous commencez à bien me suivre par ici, vous savez que j’aime la nature et me retrouver dans des endroits où je me sens seule (ou presque) reste pour moi un des moments que je recherche en voyage.

C’est en Afrique que j’ai vécu de grands moments de solitude et de déconnexion face à la nature…et cela reste des moments importants gravés en moi.

Les premiers ont été en Namibie, puis en Zambie et en Ouganda, malgré le fait que je ne suis pas partie seule durant ce voyage, j’ai eu quelques mots pendant lesquels j’ai pu profiter de l’instant présent et me sentir « hors du temps ». Ce fut le cas dans le Parc du Tarangire, après une belle journée de safari dans le Parc quand je me suis posée sur une terrasse face à cette étendue de savane infinie et avec au loin quelques zèbres et éléphants en contrebas.

La lumière ce soir-là était unique comme chaque jour en Afrique et si particulière. On se sent déconnecter ou du moins essayer, ralentir, profiter de la vue et avoir conscience de la magie de l’instant et réaliser la chance que l’on a d’être ici.

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Si vous aussi, vous avez une histoire marquante de voyage que vous avez vécue en Afrique et même ailleurs, n’hésitez pas à commenter ci-dessous.

Découvrez aussi ma vidéo de 2 minutes en Tanzanie. Prêts à vous envoler ?

 

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Bonjour Marlène!
Je suis en ce moment même en Tanzanie pour 3 mois notamment pour y faire du volontariat. Merci pour ce site magnifiquement bien réalisé, je m’en suis beaucoup inspiré avant mon depart !
J’aimerais avoir ton avis sur quelque chose: j’envie beaucoup tes clichés d’Afrique et adore les portraits! Toutefois j’ai du mal à exposer mon appareil photo face aux Tanzaniens ou n’ose pas leur voler quelques clichés… Leur demandes-tu avant de les prendre en photo? Comment procèdes tu pour qu’ils ne voient pas cela comme un manque de respect?
Merci pour ta précieuse réponse!
Cordialement
Marion

Bonjour Marion, j’espère que ton séjour en Tanzanie se passe bien. Lorsque je. prends entre autre mes “portraits de rêveurs” et même tout autre portrait, je demande chaque fois leur autorisation de les prendre en photo. En termes d’éthique et de respect, je trouve que c’est primordial:demander leur permission. Et comme j’ai un blog et un compte Instagram où je publie des photos, je demande même si je peux diffuser ou pas leur photo. Une chose aussi que j’aime faire dans le cadre de mes portraits de rêfvers, c’est de leur envoyer ensuite la photo que j’ai prise d’eux, soit par email, soit par la poste. En tout cas, c’est un exercice pas simple du tout de faire des portraits. Ne te force pas à le faire si tu ne sens pas que c’est le bon moment et la “bonne personne”. Suis ton instinct 🙂

Bjr MarlèneM Bravo pour vos récits et photos qui sont un enchantement.
Mon fiancé et moi même partons en Tanzanie fin Nov dans le cadre d un combiné Tanzanie/ Zanzibar et projetons de fr un safari de 5 jrs dans le sud car atterrissons à Dar Es Salaam.
Auriez vs a tt hasard un contact ou TO à me recommander , car les offres st malheureusement multiples et il est difficile de démêler l authentique du “truc à touristes”.
Merci par avance de votre retour 🙂

Bonjour Clémentine, merci pour votre commentaire. Je vous envoie de suite un petit email 🙂
Bon dimanche !

Bonjour,
Tout d’abord bravo pour cette si belle mise en lumière de la Tanzanie! Ca donne tellement envie!
Nous souhaitons, mon mari et moi, partir la bas + faire Zanzibar en janvier prochain. Pourriez-vous me donner le nom de l’agence qui vous a permise d’organiser votre voyage?
merci beaucoup
Mathilda

Bonjour Mathilda,
Je vous envoie un petit email 🙂
Marlène

C’est un voyage grandiose à faire ! Très belles photos

bonjour,
Pourrais je avoir des informations concernant ton safari ? le nombre de jours le prix svp car je compte partir seule et jaimerai m’organiser un sejour atypique, rencontrer le peuple tribu et voir differents parcs voir un et le lac natron. Je ne maitrise pas l’anglais mais je le comprends un minimum et j’aimerai un guide français.

Bonjour Sonia, est-ce toi qui a écrit par hasard sur le groupe Facebook d’une agence en Tanzanie ? Si besoin, contacte moi par email STP !

Bonjour,
Je viens de tomber par hasard sur ton blog et j’ai voyagé en lisant tes articles et regardant tes superbes photos; faire un safari est pour moi un rêve d’enfant; j’ai prévu de le concrétiser l’annee prochaine avec mon mari et mes 2 enfants de 12 ans; peux tu me donner les coordonnes de l’agence de voyage locale avec qui tu as voyagée en Tanzanie; je souhaiterais également, après le safari, passer quelques jours à zanzibar donc je suis preneuse d’iinfos, contact, etc…, qui pourraient m’aider dans l’organisation de ce voyage.
Encore bravo pour ton blog,
Emma

Bonjour Emma, je vous envoie un petit message, ça sera plus simple ! Belle journée et merci pour votre gentil commentaire.

[…] et aussi ce joli haut si coloré kaki aux fleurs roses et blanches qui m’a suivi en Tanzanie. J’adore et vous ? Pour découvrir d’autres photos, allez jetez un coup d’oeil sur sa page […]

Ton article est merveilleux de sincérité et d’amour pour l’Afrique. Et bravo pour cette vidéo qui communique la puissance de la vie . Et tous ces animaux m’ont tellement rappelés mes souvenirs du Masai Mara au Kenya

Oh merci Marieke. Toi qui a été au Kenya, je suis sûre que tu sais de quoi je parle lorsque je parle d’émotions et sensations uniques que l’on peut vivre sur ce continent africain. Merci pour ton commentaire qui me fait du bien. A bientôt ici ou ailleurs 🙂

Bravo Marlène pour cet article, ces photos, ce récit bref pour tout ce partage! C’est mon rêve depuis toujours d’aller en Afrique noire, ta vidéo m’a donné du frisson!

Julie

Coucou Julie. Merci pour ton gentil commentaire. Je suis contente que ma vidéo ne t’ai pas laissé indifférente ainsi que mes récits tanzaniens.
Toujours croire en ses rêves…un jour, vous irez en Afrique 🙂 Je t’embrasse à bientôt

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